Cobacabana, Lac Titicaca.

Jeudi 26 novembre, nous traversons la frontière entre le Pérou et la Bolivie, sans problemes particuliers. Il n'aura fallu qu'un peu plus de 3 heures en bus pour rejoindre Copacabana (1ere ville de Bolivie) depuis Puno.

On longe le lac Titicaca en permanence et c'est tout plat (ça change !), donc on a meme pas peur ! Les gens de cette region semblent vivre de l'agriculture et de l'élevage (race Brune) ainsi que de la peche. Un peu avant la frontière, le bus s'est arrêté pour nous laisser descendre. Puis nous avons marché jusqu'au point de contrôle de la frontière péruvienne et ensuite il a fallu marcher 300 mètres jusqu'à la frontière bolivienne pour de nouveau faire la queue pour montrer le passeport et faire tamponner les papiers d'immigration. Et nous voilà en Bolivie. Cela nous fait un peu bizarre de changer de pays. Cela fait déjà un mois que nous sommes partis (1er novembre). Le temps est passé vite pour nous.

Ici à Copacabana, la vie paraît plus facile pour les boliviens; c'est une petite ville tranquille, au bord du lac, avec sa plage, ses pédalos, ses bateaux... et tous ses nombreux touristes, étrangers comme boliviens ! Personne ne semble vraiment pressé, l'ambiance est cool...
La Bolivie n'ayant pas d'accès à la mer (source de conflit avec le Chili), il faut bien s'imaginer que le lac Titicaca est pour les boliviens l'équivalent de la méditerranée pour nous français, et Copacabana, c'est St Tropez pour les gens de La Paz qui viennent y passer une journée,  un week end ou leurs vacances.
Nous profitons d'une super vue sur le lac depuis notre chambre d'hôtel, mais on devrait plutôt parler d'une mer car la taille du Titicaca est immense, pratiquement deux départements français (environ 8 000 km2), et quelque soit l'endroit où on se trouve, on n'en voit jamais le bout !

Le lac qui fait la frontière entre le Pérou et la Bolivie, a 60% de sa surface côté péruvien et 40% côté bolivien.
Nous profitons de cet endroit calme et tres agréable pour nous poser quelques jours et travailler les devoirs.
Nous partons également en excursion pendant une journée et une nuit sur la fameuse isla del Sol (île du Soleil) la plus grande île du lac Titica.

C'est sur cette ile que serait apparu le premier roi Inca. Nous passons vraiment un excellent moment. Nous faisons une randonnée de 11 km qui nous permet de traverser toute l'ile du nord au sud. Nous avons durant toute la balade des vues magnifiques sur le lac, sur des plages paradisiaques et des petites criques à l'eau bleue transparente et au loin, sur les montagne enneigées de la Cordillère Royale de Bolivie (sommets a plus de 6000 m).

Il fait très chaud et ensoleillé toute la journée et bien sûr comme partout ici à près de 4000 mètres d'altitude, il n'y a jamais aucun arbre qui pousse, et donc aucune ombre! Mais c'est vraiment une super journée.

Enfin nous avons pu marcher et faire un peu d'exercice - même si Maxime râle un peu; c'est très dur pour tout le monde à ses altitudes. Victor a adoré; il marchait souvent devant, profitait de la vue et du bon air pendant que nous attendions Maxime...

 Au village de l'île où nous avons passé la nuit, nous avons pu assister en mangeant à un magnifique couché de soleil sur le lac. Il n'y a aucune route sur l'île et donc aucun véhicule,  uniquement des sentiers empruntés par les habitants, les touristes et surtout les très nombreux ânes qui remontent toute sorte de marchandises, des caisses de bières en passant par des tuiles pour les toits, pendant des km depuis le quai du port jusqu'au village.

Demain, nous continuons notre voyage vers La Paz, capitale de la Bolivie et plus haute capitale du monde (4000 m d'altitude). Il faut 4 heures en bus. Nous verrons bien combien de jours nous supporterons cette ville. Les grandes villes ne sont pas des endroits très reposants, surtout pas dans des pays comme le Pérou et la Bolivie, où l'altitude cumulée à la pollution peuvent donner des cocktails explosifs pour nos fragiles organismes de campagnards !

Cobacabana, Titicaca søen.

Torsdag den 26. november krydsede vi grænsen til Bolivia. Det tog kun lidt over 3 timer med bus at køre fra Puno til Cobacabana. Lidt før grænsen stoppede bussen og satte os af. Så gik vi hen til den peruvianske grænsekontrol og herefter skulle vi gå 300 meter hen til den bolivianske grænse og igen stå i kø for at vise pas og ordne immigrationspapirer og så var vi i Bolivia. Lidt mærkeligt at der allerede er gået en måned siden vi tog afsted. Tiden er gået hurtigt for os.

Afslapning i Copacabana.

Her i Copacabana virker livet lettere for bolivianerne; det er en lille by fyldt med turister, ingen har særlig travlt, stemningen er afslappet... Vi har udsigt over søen fra vores hotelværelse, men man skulle tro det var et hav for man kan ikke se enden på den. Den er ligeså stor som 2 franske departementer (ca. 8000 km2).
Vi har brugt en del tid på at lave lektier og så har vi været en dag og en nat på Isla del Sol, den største ø i søen. Det var så fantastisk. Vi gik omkring 11km fra nord til syd på øen med udsigt til små bugter med strande med krystalklart vand og bjerge med sne på toppen i det fjerne Bolivia.  Det var en meget varm dag med sol hele dagen; når vi gik i læ måtte vi tage trøjer af men hver gang vi kom op på toppen af en "bakke" hvor vinden suste måtte vi klæde os på igen. Vi kom næsten op i 4000 meters højde. Det var en virkelig dejlig dag.

Vandring på Isla del Sol.

Endelig fik vi vandret - selv om Maxime brokkede lidt; det er hårdt for os alle i de her højder. Victor syntes at det var skønt; han gik ofte foran for sig selv og nød udsigten og sang mens Benoît og jeg ventede på Maxime.
I morgen tager vi videre til La Paz så vi ikke skal bruge min fødselsdag på at køre i bus. Det tager 4 timer herfra til hovedstaden. Vi ved endnu ikke hvor mange dage vi kan holde ud at blive i La Paz. Storbyer er ikke ligefrem det mest behagelige og afslappende, slet ikke i lande som Bolivia og Peru.

Puno et les îles d'Uros.

Le voyage suivant de 6 heures en bus est entre Arequipa et Puno, ville plus au nord, au bord du lac Titicaca. Cette fois-ci, c'est au tour de Maxime d'être de nouveau malade, avec grosse fièvre dans le bus, vraiment pas drôle. En plus, l'altitude (environ 4200 m au col) ne l'aide pas le pauvre....
Puno, au bord du lac Titicaca, se trouve à 3800 mètres d'altitude. Il n'y a pas grand chose à voir.

Il y a une rue piétonne, très touristique, que Victor et Susan ont parcouru de maintes fois pour aller chercher du riz pour Benoît et Maxime, toujours malades et coincés sur les toilettes ! Le temps que tout le monde se rétablisse, nous nous posons à Puno et nous en profitons pour travailler les devoirs.
Au bout de quelques jours, les malades se sentent heureusement mieux et nous pouvons faire un tour sur les îles flottantes d'Uros, situées à 7 km au large de Puno. C'est très touristique mais ça nous fait du bien de faire une sortie. Un petit tour en bateau sur le lac, c'est tres sympa et en plus il fait très beau!

Les îles d'Uros sont construites avec les roseaux qui poussent dans le lac. Les habitants avaient construit ces iles flottantes sur le lac pour echapper aux attaques des Incas et autres tribus. Ils se refugiaient ainsi sur le lac, sur des iles artificielles. Leurs maisons, elles memes en roseaux, reposent sur 1 metre d'épaisseur de roseaux, qu'il faut renouveler regulierement (pourrissement).
On nous a emmené sur une des nombreuses îles où le chef de la communauté nous explique leur vie quotidienne sur ces iles flottantes artificielles si particulieres.

Une femme nous invite egalement à visiter sa modeste maison en roseau - une petite cabane de 6 m2 a peine, pour 2 personnes... Heureusement que Benoît parle espagnol: il peut lui poser plein de questions et la dame avoue que sans l'argent apporté par les touristes, ils ne vivraient plus sur ces îles. Ses trois enfants ont déjà déménagé à Puno pour faire des études et ils ne souhaitent plus revenir sur les îles.

 Notre séjour à Puno est prolongé d'un jour à cause des grèves et manifestations dans toute la ville contre le projet d'augmentation des taxes sur l'eau. Toute la ville est paralysée.
Mais après 5 jours à Puno nous pouvons enfin prendre un bus en direction de Copacabana, en Bolivie (et pas au Brésil ...!)

Adios le Pérou!

Puno og Uros øerne.

Næste bustur på 6 timer gik fra Arequipa til Puno. Nu var det Maximes tur til at være syg igen, denne gang med høj feber i bussen, bestemt ikke sjovt. Højt oppe var vi også hvilket ikke gjorde det bedre.
På turen havde Victor et uheldigt møde med en lama. Benoît ville have et billede af Victor ved siden af lamaen, men lige så snart Victor kom hen til den, vendte den sig mod ham og spyttede på ham. Stakkels Victor som oven i købet elsker Tintin og Kaptajn Haddock for hvem det samme sker (billede på Victors side).
Puno, ved Titicaca søen ligger i 3800 meters højde. Der er ikke meget ved den by. Der er en hovedgade som Victor og jeg gik tynd hver gang vi hentede ris til Maxime og Benoît som stadig var syge, begge med diarre. Ellers fik Victor og jeg lavet lektier.

Uros Ø.

Salg af håndværk på Uros.

Efter et par dage gik det heldigvis bedre og vi kunne tage en tur til Uros øerne. Det er virkelig turistet, men det var bare dejligt at komme lidt ud. En fin sejltur på søen, vejret var skønt. Uros øerne er bygget af de siv der gror i søen. Vi blev sejlet ud til en ø hvor vi blev inviteret ind i en dames "hus" eller snarere hytte. Heldigvis kan Benoît godt spansk så han kunne spørge om en masse og damen indrømmede at uden indtægterne fra turisterne ville de ikke kunne bo der længere. Hendes 3 børn var flyttet til Puno for at læse og ville ikke tilbage og bo på øerne.

Vores ophold i Puno blev forlænget med en dag på grund af demonstrationer mod prisstigninger på vandet så trafikken i hele byen var paralyseret, men endelig efter 5 dage tog vi en bus mod Copacabana i Bolivia.
Farvel Peru!

Arequipa og Colca Canyon

Luksusbus - Cruz del Sur.

Fra Cusco tog vi vores første natbus til Arequipa - 9 timer. Victor var selvfølgelig dårlig og kastede op, heldigvis var der toiletter i bussen fordi vi havde valgt en vis luksus. Men det er også ensbetydende med sikkerhed for man bliver filmet når alle er kommet på bussen og busserne bliver fulgt via satellit.

Arequipa er en stor by; den fylder et meget stort område fordi der ikke er høje bygninger. Der er meget ofte jordskælv og byen er blevet ødelagt op til flere gange. Den er i øvrigt omringet af vulkaner mellem 5000-6000 meter høje som har sne på toppen.
Selve centrum er virkelig flot, resten af byen ligner enhver anden peruviansk by : ufærdige bygninger, vi ville nok sige slum. Vi blev kun 2 dage i Arequipa inden endnu en bustur på 6 timer til Cabanaconde i Colca Canyon.

Kvinderne i Cabanaconde.

Cabanaconde er en lille landsby, ret isoleret efter vores målestok som ligger på kanten af Colca Canyon, 1200 meter oppe over dalen. Det var meningen at vi skulle vandre 2-3 dage ned til bunden af dalen, men først blev Maxime syg meget kort og herefter Victor meget værre med diarré. Det endte med at vi hang fast der i 4 dage, så gad vi ikke blive der mere, måtte give noget medicin til Victor så han ikke skulle på toilettet hvert 5. minut og så tog vi bussen tilbage til Arequipa. I det mindste fik vi mulighed for at nyde udsigten over dalen.

Udsigt over Colca Canyon fra Cabanaconde.

Turen tilbage til Arequipa var også fantastisk : Victor havde det privilegium at sidde foran i minibussen sammen med chaufførerne (dog uden sikkerhedssele!) fordi bussen var fyldt til randen. Vi kørte igennem fantastiske men også golde landskaber og havde udsigt til de mange vulkaner i området hvoraf en er særlig aktiv. Vi kom op i 4910 meters højde (billeder på Victors og Maximes sider).

Udsigt over begyndelsen af Colca Canyon. 

Tilbage i Arequipa fik vi Victor på benene igen, men så var det Benoîts tur til at blive syg. Alligevel lykkedes det os at besøge det meget berømte nonnekloster hvor vi fik rundvisning på fransk. Interessant at høre om de grumme vilkår kvinderne havde levet under der.

Santa Catalina klosteret i Arequipa med en vulkan i baggrunden.

Ellers stod der lektielæsning, små gåture rundt i byen og afslapning på programmet inden turen gik videre til Puno og Titicacasøen.

Arequipa - Colca Canyon

Apres cette journee epique au Machu Picchu, nous prenons quelques petits bus locaux (les fameux "collectivos") pour rentrer sur Cuzco, capitale de la Vallee Sacree Inca et point de depart de toute excursion pour le Machu Picchu.
Apres 2 jours de repos et de devoirs pour nos eleves,

nous prenons un bus de nuit pour rejoindre la seconde plus grande ville du pays, AREQUIPA, 1 million d'hbts, au sud du pays. Ces bus longue distance sont impressionnants de par leur taille (double etage) et leurs services grand luxe digne d'une Business Class en avion.

Nos bagages sont passes au scanner, nous sommes photographies avant de monter dans le bus, puis de nouveau filmes individuellement dans le bus par un policier pour raisons de securite, le bus est suivi par satellite et ne s'arrete jamais, uniquement durant les 2 mn necessaires pour le changement de chauffeur. Plusieurs bus partent en meme temps et se suivent toute la nuit. Tout ceci car nous allons traverser d'immenses zones completement desertiques propices aux attaques de bus et kidnapping de voyageurs.... Mais avec toutes ces mesures prises par ces grandes compagnies, aucun risque... Bref, le bus est a 2 etages, une hotesse nous sert un repas, nous fournit oreillers et couvertures, les sieges larges et confortables font lit et se plient a 160 degres, chaque siege dispose d'un ecran video avec multitude de films... Bref, c'est l'avion mais classe Business !

Apres avoir donc traverse des centaines de km de desert et des dizaines de km de bidonvilles a l'approche d'Arequipa (les gens habitent pour les plus pauvres dans des petites maisons en terre avec toit en tole qu'on imagine sans eau ni electricite et pour les moins pauvres dans des maisons en briques mais JAMAIS finies avec les ferrailles qui depassent pour etre poursuivies un jour meilleur....),

Arequipa.

nous arrivons a destination. Arequipa est une ville tres jolie, entouree de 3 majestueux volcans enneiges qui culminent tous a plus de 5 000 m d'altitude. La region est egalement tres regulierement sujette a de violents seismes. Nous ne sommes egalement qu'a 120 km du Pacifique.

Le volcan Misti veille sur la ville d'Arequipa

Nous faisons une petite visite guidee de la ville a pied, puis Benoit va se faire couper les cheveux pour 4 euros...
Notre auberge ("Hostal") est tres bien situee en plein centre ville et tres agreable. Trop bien situee meme car nous ne fermerons pas l'oeil une seule minute de la nuit....!! La principale raison est que nous sommes au coeur du quartier des bars resto de la ville et que les peruviens aiment faire la fete ! Surtout lorsque leur equipe de foot bat le Paraguay 1-0, ca s'arrose ! Ensuite parce qu'a Arequipa, 95% des vehicules sont des taxis ou des minibus ! Et qu'au Perou, il y a tres peu de feux et qu'on ne connait pas les clignotants, on ne conduit qu'au KLAXON, y compris entre 2h et 6h du matin, lors des embouteillages lors des sorties de bars\boites. Bref c'est un concert de klaxons non stop TOUTE LA NUIT sous notre fenetre a simple vitrage et sans volets bien sur....
Enfin pour finir, nous sommes vendredi 13 novembre, et c'est la nuit de l'horreur a Paris... Les messages d'informations nous arrivent par internet et sms et donc notre nuit blanche aura vraiment ete NOIRE !

Nous voulons donc absolument quitter cette ville pour ne pas revivre une nuit de Samedi soir identique !! Nous prenons donc un bus tres local... pour rejoindre la petite bourgade de CABANACONDE, a 170 km de là.... soit 7 heures de bus ! Pour le coup, ce voyage ne s'effectue pas du tout en classe Business (il ne faudrait pas trop s'habituer...). Nous allons dans ce bout du monde pour faire une petite rando de 3 jours (et voir les fameux condors) dans le 2eme plus profond canyon du monde (bien plus que celui des USA), le 1er etant toujours au Perou, a une centaine de km a vol de condor du second.

Le voyage en bus ne se passe pas tres bien, les chauffeurs etant completement barjots: sur les 7 heures de bus, 1 seul arret de prevu, a 1 heure de l'arrivee ! et pas de toilettes dans ce bus d'un autre age. Par contre le bus est equipe d'une TV et d'un lecteur DVD, et le chauffeur nous passe des matchs de catch americain a fond les decibels bien que cela n'interesse absolument personne. Heureusement que Susan sait trouver le bouton d'arrêt pour le plus grand bonheur de tous les passagers... A l'arret, le chauffeur nous dit que nous avons 5 mn de pause... mais il repart au bout de 4, sans compter personne bien sur ! Je dois courir et me mettre devant le bus pour qu'il s'arrete ! Une vieille dame devra meme nous rattraper quelques km plus loin avec un taxi...
Bref sinon les paysages sont superbes: immenses etendues desertiques, volcans enneiges, col a 5000 m, vallees agricoles cultivees en terrasses, des centaines de lamas et autres vigognes sauvages, villages du bout du monde, debut du canyon, precipices dangereux au bord de route... Nous finissons enfin par arriver à Cabanaconde, fatigues, enerves, stresses...

Notre hostal est sympa et plusieurs francais y travaillent. (si on ne l'a pas encore dit, les francais sont surement et de loin les premiers touristes etrangers au Perou, il y en a partout, jeunes ou retraites !).
Par contre il n'y a pas internet, nulle part dans le village d'ailleurs (sauf un seul cafe qui fait payer la connection).

Cabanaconde

Maheureusement après avoir mange dans un petit boui-boui, Maxime et Victor tombent malades dans la nuit ! Plaques de boutons, fievre et perte d'une dent pour le premier (le lama passera...), tourista serieuse et grosse fatigue pour le second. Maxime se remet des le lendemain, par contre pour Victor, c'est beaucoup plus long. Il nous faut donc annuler l'idee du trek dans le canyon, au denivele tres important et aucune ombre. Nous passons donc 3 jours dans notre chambre d'hostal a le veiller a faire les devoirs et quelques promenades dans le village et au bord du canyon, surtout le soir au coucher du soleil a essayer de voir des condors mais en vain.

Colca Canyon

Nous ne supportons plus de rester coince dans ce beau trou perdu coupe du monde et sans internet

Cabanaconde.

et decidons de repartir en ville a Arequipa lorsque Victor se sent mieux, mais cette fois en prenant un minibus pour touristes etrangers: un peu plus cher, mais celui ci fait de nombreuses haltes pour observer le paysage, manger, donner des explications ou tout simplement aller aux toilettes si besoin (tres utile quand on a la tourista....). Nous apercevrons meme alors notre seul et unique condor (3 m d'envergure environ) au dessus de notre bus lors de ce voyage retour (mais dommage, la photo sera floue, celui ci ne nous a pas attendu...) . Maigre consolation de cette expedition pourtant si prometteuse au depart.
Mais a 4 personnes et sur 5 mois de voyage, il faut bien s'attendre a ce genre de mesaventures et ce n'est certainement pas fini.

Arrives a Arequipa, nous optons pour une nouvelle auberge un peu plus eloignee du centre ville et des bars...
Nous allons manger dans une "pataterie", restaurant specialise dans les pommes de terre. Il faut en effet savoir que le Perou est un des pays fondateurs de la patate et qu'il y en a ici plus de 3000 (trois mille) varietes differentes. Il y en a de toutes les couleurs, des bleues, des jaunes, des violettes, des oranges, des sucrees...

Enfin autre decouverte a Arequipa, une boulangerie au statut d'ONG a ete ouverte par des benevoles francais. La vente du pain et des viennoiseries sert a venir en aide aux enfants et mamans en difficultes des quartiers defavorises de la ville. Nous avons rencontre son sympathique boulanger, un retraite picard qui vient 6 mois par an donner de son temps et transmettre son savoir faire. Chapeau bas l'ami !

Apres une visite du celebre couvent d'Ana Santa Molina (veritable prison pour femmes du 17e siecle, simple avis personnel....), il est temps pour nous de quitter cette jolie ville d'Arequipa (et bruyante - et on ne vous parle pas de la pollution, le controle technique n'est pas arrive encore jusqu'ici....) pour rejoindre desormais Puno, ville plus au nord, au bord du celebre lac Titicaca.

Machu Picchu

Lørdag nat, natten før vi skulle til Machu Picchu, vågnede Benoît og jeg flere gange ved lyden af regnen som trommede ned på bliktagene. Om morgenen var det meningen at vi skulle have morgenmad klokken 6, men drengene sov og humøret var på nulpunktet på grund af vejret.
Vi kom sent afsted fra hotellet, deponerede vores bagage på banegården eftersom vi skulle afsted med toget om eftermiddagen tilbage til Ollantaytambo, købte regnslag på gaden og ned og stå i billetkø til bussen. Sikken et cirkus! Og alt var hundedyrt, lige fra bananer og sandwich til busbillet.
Endelig ved ti-tiden stod vi foran indgangen til Machu Picchu, regnen var stilnet af men tåget var det og det værste var at Benoît ikke kunne finde indgangsbilletten som vi havde købt flere dage forinden - til endnu en lille formue - i Cusco. Nu kunne Victor bare ikke klare mere, jeg var ved at hyle og Maxime forstod vist ikke rigtig alvoren i situationen. Efter at have endevendt sin taske flere gange, fandt han til alles lettelse endelig billetterne et eller andet umuligt sted og så kunne vi komme ind og hverisær få Machu Picchus stempel i vores pas.
Stemningen var ikke god efter al den stress, det var vejret heller ikke og vi var skuffede over at man, efter at have betalt så mange penge og været blevet tjekket utallige gange (man skal konstant vise pas), kommer ind og ikke aner hvorhen man skal gå.  Der er ikke nogen til at vise en i den rigtige retning alt efter hvor man skal hen. Vi havde betalt ekstra for at kunne komme op på Montana Machu Picchu som er et af de to udsigtspunkter på området. Jeg tror der gik en time før vi fandt ud af hvordan vi kom hen til den rigtige sti hvor vi igen skulle vise billetter og pas for at bevise at vi nu havde betalt for at skulle vandre op. Tænk at man vil betale for det! Vi havde aldrig forestillet os så hård en opstigning.

Opstigningen til Montana Machu Picchu

Efter en time og 15 minutter, totalt svedige og våde af regn, nåede vi toppen (3061 meters højde - billede på Victors og Maximes side) og havde en fantastisk udsigt - over et tykt tågehav. Folk sad og ventede på at det skulle lette, spiste medbragt mad, sludrede med hinanden... Efter en halv time besluttede vi dybt deprimerende ligesom alle andre at begynde nedturen som var lige så langsommelig som opturen på grund af de mange ujævne og våde stentrapper. Halvvejs nede begyndte tågen at lette - klokken var blevet halv et - og langt om længe kom smilene frem hos alle. Nu havde vi endelig den udsigt som man ser på alle billeder.

Alle tog billeder af hinanden, snakkede og grinte, lettede over at alt endte godt.
Nedturen endte med at tage dobbelt så lang tid som opturen fordi vi nød udsigten, slappede af og tog billeder. Vel nede igen, havde vi godt og vel en time til at gå rundt i ruinerne, men da var vi også trætte,  benene rystede under os efter alle de trin og anstrengelser! Vi skulle med toget fra Aguas Calientes ved 16 tiden - i øvrigt en efter min mening  rædsom by som ligger klemt inde mellem bjergene i junglen, for jungle er det i forhold til Den hellige dal. Der er myg, fuglelyde, fugt, vild bevoksning... Det var en anderledes oplevelse når vi nu ikke regner med at tage i regnskoven.

Aguas Calientes 

Toget til og fra Aguas Calientes.

Det var skønt at komme på toget og kunne sidde og slappe af efter en begivenhedsrig dag. 

Machu Picchu

Samedi soir, la nuit avant d'aller au Machu Picchu, nous sommes réveillés plusieurs fois dans la nuit par le bruit de la pluie qui tape tres fort sur le toit en  tôle de notre auberge.  Le petit-déjeuner était prévu pour 6h, mais vu le temps, vu que les garçons dorment encore et vu que le moral est à zéro avec cette meteo terrible (c'est notre premier jour de pluie et il faut que ce soit le jour de notre visite du Machu Picchu !!), nous ne sommes pas tres enthousiastes a l'idee de nous lever .
Finalement, apres avoir quitté l'hôtel tardivement, nous achetons des ponchos avant d'aller faire la queue pour acheter les billets de bus qui vont nous monter au site. Quel cirque! Et en plus, tout est mega cher, des bananes aux sandwichs et billets de bus.
Enfin,vers 10 heures nous nous retrouvons devant l'entrée du Machu Picchu; la pluie s'est calmée, mais il y a beaucoup de brouillard et le pire est que Benoît ne trouve plus les billets d'entrée achetés a Cuzco plusieurs jours auparavant,.. Nouveau stress rajoute a la deception de la meteo....
Victor n'en peut plus, Susan est au bord des larmes et Maxime ne comprend pas vraiment le sérieux de la situation. Après avoir fouillé son sac plusieurs fois, Benoit trouve enfin au grand soulagement de tous les tickets et nous pouvons enfin entrer et tamponner nos passeports avec le fameux tampon du Machu Picchu.
L'ambiance n'est pas au top après tout ce stress et cette meteo et nous sommes aussi un peu decus une fois rentrés que personne ne soit present pour nous aiguiller.
Nous avons payé un supplément pour monter au Montana Machu Picchu, pour avoir une vue sur tout le site mais nous avons mis une heure pour trouver le chemin d'acces a la montée au site.  Et quelle montée! Rude, tres rude et raide et arrivée en haut au bout de 1 heure et 15 minutes de marche à 3061 metres d'altitude, une vue magnifique... sur le brouillard nous attend. Les gens attendent en haut depuis des heures que ça se lève,  mangent leur pique-nique, discutent... Au bout d'une 1/2 heure d'attente, nous decidons complètement deprimes d'entamer la descente qui est aussi longue et dure que la montée à cause de toutes les marches en pierres qui sont tres glissantes. Alleluia ! A mi-chemin, le brouillard commence d'un coup à se lever et le celebre Machu Picchu commence enfin a se decouvrir sous nos yeux - il était 13h30. Nous avons finalement bien fait d'etre patients et de ne pas nous precipiter ce matin. De nombreux autres visteurs sont redescendus plus tot et donc n'auront pas eu LA vue si celebre du site !

Finalement, nous avons mis beaucoup plus de temps pour redescendre, le temps de prendre des milliers de photos et de savourer la vue tant attendue. Une fois en bas, nos jambes tremblent après tant d'efforts et notre souffle est court avec l'altitude. Nous profitons de notre derniere heure sur le site pour nous balader tranquillement dans les ruines du site Inca. C'est tres impressionnant. Comment les Incas ont ils pu construire une telle cite a un tel endroit avec les moyens de l'epoque... ? En milieu d'apres-midi, nous redescendons en bus à Aguas Calientes pour reprendre le train - (ville assez laide coincée entre deux montagnes dans la jungle, car c'est bien la jungle comparée à la Vallée Sacrée. Il y des moustiques, des bruits d'oiseaux, de l'humidité, de la verdure sauvage...).

Quel bonheur de pouvoir s'asseoir dans le train et se reposer après une journée riche en emotion. Mais quel bonheur d'avoir eu le privilege d'admirer de visu et d'avoir fait decouvrir aux garcons l'une des plus belles merveilles du monde.

La vallée sacrée

Nous voici en route pour le Machu Picchu. Hier matin de bonne heure, nous avons quitté Cuzco en direction de la Vallée Sacrée. Premier arrêt : Chinchero, un petit village à 3700 mètres d'altitude où l'on peut visiter des ruines incas. Heureusement que nous nous étions bien acclimatés à Cuzco. Même si nous sommes à de très hautes altitudes, il fait étonnamment chaud : 9-10 degrés le matin et 18-19 l'apres-midi. Jusque là, nous avons eu beau temps, légèrement nuageux, mais quand le soleil sort, il fait trop chaud. En plus, il faut faire très attention car à ces altitudes, on ne bronze pas, on brûle. C'est le début de l'été au Pérou ce qui correspond.... à la saison des pluies ! Une autre petite parenthèse : pour l'instant, nous nous réveillons tous les jours à 5 heures du matin au lever du soleil (11 heures en France) et à 18 heures, il fait nuit. Les garçons se couchent tôt (vers 20h) mais ce sont aussi des journées très fatiguantes.
Après Chinchero, nous sommes allés à Maras et Moray où se trouvent des ruines en forme cylindrique qui servaient de laboratoire agronomique aux Incas qui testaient la résistance des plantes selon les différentes altitudes et températures. (Pour Stéphane P.: l'Inra descend certainement des Incas...😉).

Les ruines à Moray.

Le soir, nous avons dormi à Ollantaytambo, encore un petit village de la Vallée Sacrée,  à 2800 mètres d'altitude, 900 habitants et au moins 2 fois plus de touristes. Et c'est saison basse en ce moment! Ce matin, nous nous sommes baladés dans les magnifiques ruines d'Ollantaytambo où des batailles sanglantes ont eu lieu entre les incas et les conquistadors. Ce sont des constructions vraiment impressionnantes. On a du mal à imaginer comment les Incas ont pu transporter sur des km ces énormes blocs dont certains pèsent plusieurs dizaines de tonnes en haut des montagnes ! Les garçons aussi sont impressionnés et s'imaginent comment ils se sont battus avec leurs lances contre les fusils des espagnols, c'etait vraiment David contre Goliath, l'issue était connue d'avance....

Ollantaytambo

A présent, nous sommes dans le train en direction d'Aguas Calientes, ville de départ pour le fameux site inca du Machu Picchu !

Den hellige dal.

Så er vi på vej mod Machu Picchu. I går tog vi afsted fra Cusco tidligt om morgenen med taxa (billigere end med bus når vi er 4) med retning mod den hellige dal. Første stop: Chinchero, en lille landsby i 3700 meters højde hvor vi skulle se en inkaruin. Det var godt at vi havde været et par dage i Cusco (cirka 3300 meters højde) så vi ikke fik højdesyge.

Selv om vi er så højt oppe, er det overraskende varmt : omkring 9-10 grader om morgenen og 18-19 grader om eftermiddagen men indtil videre har vejret været fint, letskyet og når solen er fremme er det ulideligt varmt. Man skal passe på solen for man bliver ikke brun men brændt på grund af højden. Det er begyndelsen på sommeren i Peru hvilket også er ensbetydende med regntid, men heldigvis har vi foreløbig kun haft en formiddag med regn. Det er selvfølgelig også i junglen at det regner mest. Lige en anden parentes : foreløbig vågner vi klokken 5 om morgenen (klokken 11 i Europa) hvor det bliver lyst og klokken 18 er det mørkt. Klokken 20 beder Victor om at komme i seng og der går ikke mere end et par minutter før han sover men så har det også vaeret en lang dag!

Tilbage til vores inkaruin. Her er et billede fra Chinchero.

Efter Chinchero gik det videre til Maras og Moray hvor vi skulle se nogle cylinderformede ruiner som inkaerne havde brugt som et laboratorium for dyrkning af afgrøder samt en fantastisk "saltmine".

Salinas, Maras 

Bagefter spiste vi frokost med vores chauffør på en god restaurant, stor buffet med lækre peruvianske specialiteter inden han kørte os videre til Ollantaytambo, endnu en lille by i den hellige dal, cirka 900 indbyggere og mindst dobbelt så mange turister (og det er lav sæson) i 2800 meters højde. Her skulle vi overnatte.

I formiddag har vi gået rundt i Ollantaytambos fantastiske ruiner. Her har stået blodige slag mellem inkaerne og spanierne. Det er utroligt bygningsværk. Man fatter ikke hvordan inkaerne har kunnet transportere stenblokke på mange ton op af klipperne! Drengene er også imponerede og forestiller sig hvordan de har kæmpet med spyd mod spaniernes bøsser.

Nu sidder vi i toget til Aguas Calientes, Macchu Picchu og er snart fremme. I morgen er det Machu Picchu here we come!!

Cusco

Vi har haft 4 dage i Cusco. Det kunne jeg skrive side op og side ned om. Men her er de første indtryk blandt andet også drengenes : Naaj hvor er der mange elektriske ledninger som hænger over det hele i gaderne (Maxime), der løber hunde rundt overalt, der er kun gamle biler som oser helt vildt, affald som flyder alle vegne, mange gadehandlere, næsten alle biler fungerer som taxier, hustage af blik, ingen sikkerhedsseler på bilernes bagsæder, man må ikke komme toiletpapir i toiletteterne...

Cusco er en flot by i selve centrum med fantastiske bygninger, flotte kirker, arkader så man kan gå i skyggen, sjove altaner i træ, små gyder og især damer i flot traditionelt tøj. Benoît har allerede taget et hav af billeder. Vi boede 10 minutter i taxa fra selve den gamle bykerne og der så anderledes ud: faldefærdige bygninger, affald i gaderne (selve centrum bliver holdt fint for turisterne). Men man vænner sig hurtigt til alt. 

Le marché de San Pedro, Cusco.

Drengene virker egentlig ikke chokerede men måske lidt utrygge en gang imellem. For eksempel spiste vi frokost på et marked en dag. Det er sjovt. Man sidder bænket i gangene, der er meget larm og mennesker, beskidt, anderledes mad og dårlig hygiejne! Der var Maxime ikke meget for at spise, sagde at han havde det dårligt, han sad ved siden af en peruviansk dreng som guffede løs med fingrene.

Men bagefter gik vi hen i en anden allée hvor piger på lang række solgte friskpresset juice. Man kunne vælge hvilke frugter man ville have: æble, appelsin, ananas, papaya, kiwi, mango, passionsfrugt... og saa blender de det foran en. Det var lige noget Maxime kunne bruge og så fik han det hurtigt godt igen.

Hvad fik vi så set? Katedralen, andre kirker, flere museer om inkaerne og conquistadorerne. Om tirsdagen var vi på en bustur for at få et indtryk af byen som ikke er særlig stor, ikke den gamle bydel ihvertfald så man kan nemt gå rundt. Torsdag gik vi en tur op til en inkaruin som hedder Sacsayhuaman. Man går op igennem et rigtigt hyggeligt kvarter med smalle gyder med brosten som hedder San Blas og kommer udenfor byen, op i frisk luft! I kan nok forestille jer hvor vi stønnede, måtte stoppe op et par enkelte gange og puste, hjertet galoperer afsted og man føler indimellem at det trykker lidt i hovedet som en kommende hovedpine. Drengene er faktisk mindst berørt og løber afsted men bliver dog også forpustede selv om de helst lader som ingenting.

Der er sikkert masser andet at fortælle men vi er allerede taget videre til den hellige dal mod Macchu Picchu!

Cuzco

Nous sommes à Cuzco depuis 4 jours. Il y en aurait beaucoup à dire sur l'ancienne capitale Inca (350 000 habitants). Mais voici nos premières impressions entre autres celles des garçons : beaucoup de fils électriques qui pendent dans les rues, des chiens qui errent partout, des vieilles voitures qui fument énormément, des déchets au bord des routes, beaucoup de vendeuses sur les trottoirs, pas de ceintures de sécurité à l'arrière des taxis, il ne faut pas jeter le papier toilette dans les wc au risque de boucher toutes les canalisations...

Le vieux centre de Cuzco est vraiment très joli : de très beaux bâtiments au style colonial, de belles églises, de petites ruelles et beaucoup de dames surtout habillées de vêtements traditionnels. Mais à 10 minutes en taxi du centre où nous logeons, la ville à une toute autre apparence : bâtiments délabrés, ordures partout (le vieux centre est bien entretenu pour les touristes). Néanmoins, on s'y habitue vite. Les garçons ne paraissent pas directement choqués mais ne se sentent peut-être pas tout à fait en sécurité par moment. Maxime ne lâche jamais la main de Benoît. ..
Nous avons visité plusieurs églises entre autre la cathédrale, plusieurs musées sur les incas et les conquistadors. Mardi, nous avons pris un bus touristique à étage sans toit pour nous reposer et faire le tour de la ville. Jeudi, nous sommes montés à une ruine inca qui s'appele Sacsayhuaman. Il faut traverser le quartier San Blas, très sympa avec beaucoup de ruelles pavées et commerces (le"Marais" de Cuzsco) . Cuzco se trouve à plus de 3000 mètres d'altitude et Sacsayhuaman est situé sur les colines des alentours où l'air est plus frais. Mais y monter demande pas mal d'efforts et nous étions tous bien essoufflés (enfin surtout nous les adultes !), le coeur galope et on a l'impression d'avoir un début de mal de tête. Ce sont certainement les garçons qui ont été les moins affectés jusqu'a présent (voir pas du tout). Pourvu que ça dure!

Sacsayhuaman

La cathédrale, Cuzco.